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Le reïki

Je voudrais vous parler du reïki que je pratique mais qui a pourtant mauvaise presse.

Il y a quelques années je n'avais jamais même entendu ce terme reïki et je ne savais même ce que c'est.

Étant à l'époque très impliquée dans le bénévolat: SOS écoute à perpignan qui devient SOS amitié, formation de soins palliatifs et un accompagnement en fin de vie avec le groupe AIDE de 2 amis qui avaient le sida....

Bref! le coté humanitaire m'ayant toujours attiré, je decouvrit un jour sur le net un site de dauphins travaillant avec des autistes qui s'appelle je crois "chante la vie".
J'ai aimé de suite ce site et admirait l'homme qui l'avait crée, son travail avec les dauphins étaient (et est encore je pense) génial.

Dans ses pôles d'intéret était marqué reïki.
Je cherchais donc sur le net ce que cela pouvait être et j'y découvris une méthode de soins par imposition des mains basée sur une harmonisation energétique, une méthode ancestrale japonaise.

Le concept me plu et je décidais de chercher un formateur sérieux. Je finis par le trouver à Narbonne, jeune homme en rien illuminé, bien dans ses basket et sérieux.

Je suivis donc la 1ere formation sur Perpignan en groupe et ensuite la 2° à Narbonne là toute seule avec mon formateur.
J'appris donc à me soigner tous les soirs et à soigner mes proches, un peu dans le doute de l'éfficacité du reïki au début et constatant combien cela marchait.

Petit à petit je m'en suis éloignée, beaucoup par flemme, oubliant souvent de me soigner le soir et le pratiquant très peu autour de moi juste quand quelques bobos se présentaient.
Mais je n'en perdis rien, une formation  reïki restant définitive, je veux dire par là que cette capacité de soins reste en soi définitivement une fois apprise.

Lorsque ma mère mourut il y a quelques mois, étant tant habituée à m'occuper d'elle, je me retrouvais un peu désœuvrée sans but. Ayant toujours eu besoin de me sentir utile, je me sentie bien plus libre de mon temps mais inutile à souhait.

Je décidais donc de pratiquer le reïki de façon professionnelle, de monter même une association avec des copines pratiquant d'autres disciplines comme la sophrologie, le magnétisme, le yoga, la réflexologie plantaire rencontrées durant mon projet de fonder une association loi 1901.

Mais c'est à cette occasion que je découvris la mauvaise presse du reïki: le mot secte revenait sans cesse, mes petites annonces refusées comme si ce mot était maudit, véhiculant  toujours ce terme de secte....
J'ai eu du mal à comprendre pourquoi, pourquoi une aide fabuleuse comme celle là pouvait avoir si mauvaise presse et secte en quoi? J'avais payé deux formations, personne n'avait insisté pour me "prendre en otage", je n'essayais d'entrainer personne dans cela, je n'en profitais pas pour soutirer du fric aux gens et tous ceux que je connaissais le pratiquant non plus et aucun ni moi ne recommandait d'abandonner le moindre traitement médicamenteux, ni de mettre de coté surtout les soins coté médecine..

Comme partout bien-sur, il y a des dérives, des personnes qui se prennent pour des gourous ou je ne sais quoi, bien-sûr le déroulement des formations est un peu mystérieux (mais en rien dangereux ou sectaire) et le résultat des soins pas toujours immédiat (et pourtant bien réels) faisant dire que ce ne sont que des placebos (à tord bien-sur) et c'est comme si le mot reïki était synonyme de souffre........... exagéré, même carrément scandaleux mais bon! devant tant de nouvelles disciplines inconnues, tant d'abus, la méfiance s'est installées chez pas mal de monde et je le comprend.

Je suis donc en passe de pratiquer le reïki de façon professionnelle et dans un cadre associatif très bientôt.

Je prolongerais cette page  avec plus de détails sur le reïki et l'activité de l'association pour ceux que cela peut intéresser et vous remercie de m'avoir lue (quelques commentaires seraient bien sympa, vous qui passez par là).